La maladie de ménière est particulièrement pesante pour ceux ou celles qui en souffrent.
Comme je l’ai dit il y a quelques jours, elle peut rendre la vie des malades vraiment insupportable.
Voilà pourquoi, j’ai fait des recherches sur le sujet. Et devinez quoi ?
J’ai découvert que l’hypnose et la TCC pouvaient apporter un certain confort aux victimes de la maladie de Ménière.
Maladie de ménière : L’hypnose et la TCC peuvent vous aider…
Pour en savoir plus, lisez la suite…
Petit rappel sur la maladie de Ménière
Le vertige de Ménière, comme on l’appelle également, est une affection qui touche l’oreille interne.
Elle provoque des acouphènes particulièrement importants et des vertiges.
Mais aussi l’impression d’avoir les oreilles constamment bouchés d’où une baisse de l’acuité auditive.
Et comme je l’ai expliqué dans cet article, elle se répercute dans tous les domaines de la vie de ses victimes.
Et ce, tant sur le plan physique que psychologique.
Maladie de Ménière : Comment l’hypnose peut-elle aider ?
L’hypnothérapie peut apporter un soutien psychologique aux victimes de la maladie de Ménière.
Les symptômes, souvent insupportables, font effectivement naître une grande anxiété chez les malades.
Et le stress, loin de calmer la gêne, ne fait que l’accentuer.
Toute technique de relaxation pourrait donc aider le patient à soulager les symptômes et à mieux vivre avec cette affection.
Et il se trouve que l’hypnose est justement spécialisée dans la gestion du stress.
De même que la sophrologie, le training autogène de Schultz, elle peut apporter une amélioration notable.
Maladie de Ménière : L’aide apportée par la TCC
Le but de la Thérapie cognitive et comportementale est de rendre la vie des patients plus confortables.
Elle va donc apprendre à ces derniers à mieux vivre avec leur maladie et à bien les supporter.
Notez également que la TCC permet de reprogrammer le cortex.
Reconnue pour être efficace dans 70% des cas, elle rend la plus de ceux qui souffrent de la maladie de Ménière plus supportable.
Un petit rappel : « Psychothérapie cognitivo-comportementale : A quoi ça sert vraiment ? »
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